La peur d’être attrapé dans la magouille s’installe à la DGRK. Pendant plus de dix ans, les mécanismes de fraude et de détournement de fonds publics s’étaient institutionnalisés au sein de la régie financière de la Ville de Kinshasa. L’inertie, l’omerta et la complaisance avaient permis l’enracinement d’un système mafieux, privant la capitale de ses ressources légitimes.
Aujourd’hui, grâce à l’action courageuse et déterminée du Gouverneur Daniel BUMBA Lubaki, ce système est en train d’être démantelé. Par la mise en place d’une Commission qui prend en charge la gestion des risques en fraude fiscale, ainsi que par la digitalisation de la chaine de la recette, l’Autorité urbaine a enclenché un processus de nettoyage sans précédent dans la Ville.
Des résultats concrets : des arrestations et des poursuites judiciaires se poursuivent.
Les premières retombées ne se sont pas fait attendre. Plusieurs hauts cadres de la DGRK, y compris des directeurs, sont aujourd’hui incarcérés à la prison centrale de Makala. D’autres comparaissent devant le parquet. Les enquêtes avancent, les dossiers s’accumulent, alimentés par une vague de dénonciations internes.
Ce sont désormais les agents eux-mêmes qui, lassés du système, se lèvent pour dénoncer les circuits de fraude. Un véritable tournant dans la culture administrative et fiscale de la Ville, où le silence complice est peu à peu remplacé par le courage civique.
La vision du Gouverneur de la capitale congolaise est assumée : restaurer l’autorité et récupérer les moyens d’agir.
En coupant les racines du mal, le Gouverneur Bumba veut redonner à Kinshasa ses moyens d’action. La mobilisation des recettes est un enjeu central, non pour remplir des caisses mortes, mais pour réinvestir dans les infrastructures, l’assainissement, les services sociaux et l’aménagement du territoire.
« Le temps de la complaisance est terminé. Kinshasa doit avancer avec tous ses moyens. Ceux qui pillent la Ville n’auront plus de refuge », a déclaré le parton de la Ville de Kinshasa.
Le message est donc clair : la fraude ne sera plus tolérée, les responsabilités seront établies, les sanctions appliquées. L’heure est à la discipline, à la transparence et à la réhabilitation de l’éthique publique.
Une rupture tant attendue et un espoir certain pour l’avenir.
Ce qui s’opère aujourd’hui n’est pas qu’une opération ponctuelle : c’est une réforme structurelle du rapport entre gouvernance et responsabilité. Kinshasa, longtemps capturée par des intérêts particuliers, est en train de retrouver son cap.
Grâce à Daniel Bumba Lubaki, la Ville entame une nouvelle ère, où le service public redevient un devoir, et non une opportunité de prédation. Le changement est en marche — réel, visible, courageux.