Ils ont le sang rd-congolais. Ils sont encore jeunes. Ils ont la musique comme métier commun. Elvis Adidiema et Charles Tabu ne jurent que sur la structuration de la musique africaine. Quotidiennement, ils se distinguent par leur productivité et la révélation de nouveaux talents tant dans le continent (Afrique) que dans sa diaspora en Europe.
Depuis leur jeune âge, ils écoutent la musique congolaise de part leurs parents et d’autres membres de leurs familles respectives, mais également le rap français et d’autres musiques du monde à partir de leurs environnements respectifs.
Dans cette ambiance, les deux congolais sont debout et sont présents dans des salons, bureaux, conférences et autres lieux où se décident de l’avenir de la musique contemporaine mondiale. Les langues ne constituent pas une barrière pour ces deux figures. Ils côtoient tout le monde et exécutent calmement et stratégiquement leurs plans d’actions. Ils ne sont pas dans des propagandes. Les médias et les communautés africaines ne parlent d’eux que lorsque leurs réalisations brisent les glaces et les débris atteignent les horizons inattendus.

Dans le monde musical africain, chacun d’eux a un rôle spécifique et le fait très bien. Charles Tabu, fils biologique de l’immense Pascal Rochereau Tabu Ley, est dans le management et dans le réseautage musical. Fréquemment, il connecte les artistes musiciens africains entre eux ou avec des producteurs scéniques ou discographiques de partout.
Son téléphone est tout un bureau opérationnel pour répondre aux requêtes des professionnels, des amateurs et des jeunes talents d’Afrique et de sa diaspora européenne.
Hormis d’importants projets exécutés et son parcours journalistique professionnel en France, Elvis Adidiema, de son côté, est celui qui a notamment réalisé un documentaire sur l’icône de la musique africaine Papa Wemba en 2018. Depuis, il est écouté par les décideurs des musiques du monde. Il a travaillé aux côtés du martiniquais Olivier Laouchez au sein du groupe Trace. Il a même participé à la création et au lancement de la chaîne de télévision musicale Trace Kitoko. Depuis 2021, il est le numéro 1 de Sony Music Africa. Il produit plusieurs artistes musiciens de divers horizons et développe professionnellement leurs carrières. Son numéro de téléphone est recherché par les talents d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Lorsque Adidiema et Tabu débarquent dans votre pays ou ville ou encore aux côtés d’un artiste ou personnalité, sachez bien que dans le court, moyen ou long terme, un grand projet sera exécuté par un consortium de professionnels du secteur de la musique ou de l’événementiel pour une cause noble.
Le dernier en date est le concert caritatif nommé « Solidarité Congo », organisé le mardi 22 avril 2025 à Accor Arena (ex Bercy) avec une palette de plus de vingt artistes musiciens africains, après des pressions stériles d’une diaspora politique européenne d’un pays africain.
Réussite totale. Plusieurs musiciens contactés avaient positivement répondu à cette initiative de ces deux rd-congolais. La salle avait accueilli 20 mille spectateurs de diverses nationalités et d’une majorité absolue de moins de trente ans, appelés affectueusement « Génération Berceau » par la star rd-congolaise Ngiama Werrason.
La satisfaction était totale, comme l’on pouvait bien lire sur les visages de ces deux silencieux héros dans l’ombre. Contre toute attente et faute de temps, quelques artistes musiciens n’avaient pas pu monter sur les planches de Bercy (actuelle Accor Arena), mais restent dans leurs bases de données pour des futurs projets.

Humbles et effacés sur les réseaux sociaux et les médias, Elvis Adidiema et Charles Tabu sont d’une discrétion et d’une discipline incroyable. Ils ont des projets intéressants pour l’avenir de la musique africaine et de l’autre côté de la Méditerranée (Europe).
Selon nos sources, ils sont prêts à collaborer avec différents partenaires pour créer, particulièrement, l’industrie musicale congolaise tout en assurant son accompagnement. Avec une expertise avérée, ils sont disponibles pour booster la musique du pays de Wendo Kolonsoy, Kabasele Tshamala dit Grand Kallé, Tabu Ley, Franco Lwambo et autres.
REDACTION