Exclus : Dafrika à la conquête de l’Afrique

Business Development Manager en charge de l’Afrique Centrale à Dafrika, Arlene Ndongala a au cours d’un entretien expliqué clairement le fonctionnement et les ambitions de leur entreprise qui depuis sa création s’accroit progressivement. Elle nous a également confié qu’elle tient à s’implanter dans plus d’une dizaine d’Afrique pour répondre aux multiples problèmes qui dérangent quotidiennement les différentes couches sociales du continent noir. « Dafrika se veut un de ces opérateurs qui aident l’entrepreneur africain, le particulier, l’africain de la diaspora et aussi les amis de l’Afrique à exceller, à gagner et à avancer », a avancé Arlene Ndongala.

En quelques phrases, présentez-nous Dafrika ?

Dafrika est une maison d’édition, de diffusion d’informations et de services destinés à trois types de clients : les africains particuliers, les professionnels africains et les européens intéressés par l’Afrique.

Nos médias et services sont déployés via les canaux de communication classiques (magazines, guides et ouvrages) et bien entendu aussi via les canaux électroniques (site internet, e-mailing et autres supports à venir). Voir aussi www.dafrika.com et ses rubriques destinées aux particuliers et aux professionnels.

 

Où êtes-vous précisément implanté ?

Dafrika est basé en Belgique, mais a tissé un réseau de collaborateurs et correspondants en Afrique en ce, y compris en RDC où DAFRIKA collabore avec votre interlocutrice. En effet, je suis chargée des développements commerciaux et business pour le Congo-Kinshasa et le Congo-Brazzaville.

 

Quels sont les avantages qui entourent vos différents services ?

La réponse à cette question est simple et la voici. Nous vivons une époque où l’information circule aux quatre coins du monde à la vitesse électronique, c’est-à-dire instantanément. Cela signifie que théoriquement tout le monde pourrait désormais avoir accès facilement à l’information. Dans la pratique, nous contactons malheureusement que les particuliers, tout comme les professionnels sont noyés à notre époque dans une masse d’informations et de moyens de communication (Web, Google, Facebook etc…), au point de perdre finalement trop de temps avant d’accéder à la bonne information.

Dafrika fait partie de ces nouveaux opérateurs et diffuseurs d’informations qui cherchent et synthétisent l’information afin que chacun de ses clients et lecteurs, particulier ou professionnel puisse trouver rapidement l’information dont il a besoin sur un seul site: www.dafrika.com.

En trouvant l’information pratique et utile sur Dafrika.com et via nos différents autres médias, le professionnel africain gagne du temps. Il va droit à l’essentiel. Nous l’aidons à devenir plus performant car plus informé.  Autrefois, nous disions, « le temps, c’est l’argent ». Aujourd’hui, nous disons aussi : « l’information c’est l’argent ». Celui qui dispose de la bonne information, rapidement, est celui qui a le plus de chances de d’être performant et de gagner. Dafrika se veut un de ces opérateurs qui aident l’entrepreneur africain, le particulier, l’africain de la diaspora et aussi, les amis de l’Afrique à exceller, à gagner et à avancer.

 

L’Afrique, singulièrement la Rd-C connaît des problèmes de communication sous toutes ses formes et de manque d’équipements médicaux. Avez-vous des solutions pour remédier à ces maux ?

Nous aimerions d’abord attirer votre attention sur le fait que DAFRIKA informe et sert tous les secteurs d’activité en ce y compris le secteur médical.

Il serait prétentieux de prétendre résoudre les maux de l’Afrique ou de la RDC. Nous nous sommes donnés comme mission d’apporter notre pierre à l’édifice. En aidant l’entrepreneur Congolais à être informé et à s’équiper à bon escient, nous lui permettons d’exceller et de prospérer.

Parmi les missions que nous nous sommes données, il y a également l’aide que nous apportons aux entreprises africaines, y compris celle de la RDC, à exporter leurs produits et services vers le grand marché de l’Union Européenne qui est un des marchés les plus prospères au monde.

Il est difficile d’épuiser cette matière dans le cadre de cette interview, nous demandons à tout celui qui veut en savoir davantage sur nos services « Nord-Sud » et « Sud-Nord » de nous contacter via notresite internet www.dafrika.com ou par mail (arlene@dafrika.com) ou (info@dafrika.com).

 

Que doivent faire les free-lances en marketing et en communication ou les start-up qui liront cet entretien et voudront collaborer avec vous ?

Nous seront très heureux que les petites et moyennes entreprises, les start-up et les free-lances africains et congolais en particulier nous contactent.

Nous les invitons à s’informer d’abord sur nos services en visitant notre site internet et ensuite à formuler des demandes très concrètes que traiterons au cas par cas avec minutie. Si après examen, il y a une possibilité de collaboration, nous réagirons adéquatement.

 

Que prévoyez-vous comme activités ou innovations pour les prochains jours ?

Nos innovations font parties actuellement des choix stratégique que l’on ne peut pas encore exposer sur la place publique. Nous vous en feront part, c’est promis, le moment venu.

 

Une représentation en Afrique sub-saharienne est-elle en vue ?

Oui. Nous avons répondu à cette interrogation à votre deuxième question ci-dessus. Nous sommes en train de nous implanter via des correspondants d’abord dans les pays d’Afrique noire  francophone. A la fin de l’année 2016, nous ambitionnons d’être représentés dans environ 13 pays.

 

Un message aux entreprises et autres structures seront tentées par vos services ?

Du point de vue purement professionnel, nous disons aux entreprises africaines de découvrir nos services et de s’inscrire sur notre site (www.dafrika.com) pour être informées régulièrement (cfr : www.dafrika.com). Nous les invitons ensuite à nous adresser des demandes et promettons de les répondre avec soins.

CINARDO KIVUILA