L’artiste engagée Sekhmet La Lionne fait un retour retentissant avec un nouveau single percutant : « Le Trône », première pierre d’un projet d’album en cours d’élaboration intitulé « Les 11 Marches vers la Gloire ».
Guidée par une philosophie ésotérique et un fort ancrage dans les cultures anciennes, Sekhmet envisage sa création musicale comme un parcours initiatique dédié à la régénération et à la découverte de soi.
Mêlant héritage ancestral et illumination divine, Sekhmet s’établit comme une voix sans équivalent dans le paysage musical. Son expression artistique va bien au-delà de la simple mélodie ou de l’esthétique ; elle est conçue comme une médecine de l’âme. Par la force de ses textes et de son univers sonore, l’artiste aspire à apaiser, sublimer et activer les consciences. Elle pousse chaque auditeur à se reconnecter à sa vérité profonde et à accepter que la souveraineté spirituelle prime sur toute autre autorité.
Dans son dernier titre, « Le Trône », l’artiste revisite avec audace la fameuse citation de Jésus : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Pour Sekhmet, cette parabole possède une résonance à la fois intime et universelle. « Chaque individu est une pierre vivante, destiné à être façonné, poli et révélé, pour ériger une œuvre durable », explique-t-elle, précisant que cette « église » représente la fondation intérieure que l’on construit en harmonie avec son essence sacrée.
Dans la perspective de l’artiste, « Le Trône » n’est pas une figure de style, mais l’affirmation d’une identité royale, un potentiel dormant que chaque personne est appelée à déceler et à manifester.

Quant à son prochain album, « Les 11 Marches vers la Gloire », Sekhmet promet un périple acoustique et spirituel, où chaque morceau symbolisera une phase d’accès à la maîtrise de soi, au rétablissement émotionnel et à l’expression de sa légitimité spirituelle. À travers ce projet, l’artiste encourage une communion directe avec le créateur, en marge des structures religieuses, dans une quête sincère de délivrance, d’autonomie et d’épanouissement.
De son nom civil, Jacquie Tshivuadi, le pseudonyme Sekhmet fait écho à la divinité égyptienne de la guerre et de la médecine. Cette référence mythologique symbolise à la fois la puissance implacable et la vertu curative, des dualités que l’artiste intègre et exprime à travers sa création musicale.
Lire aussi :
CHRISTIAN KIAKONDO