Prince Djungu fait son entrée sur la scène littéraire avec « J’ignorais encore nager dans les flots de la vie »

Sorti mondialement, le lundi 3 octobre 2016, le roman « J’ignorais encore nager dans les flots de la vie » du jeune auteur belgo-congolais Yannick Prince Djungu Tambwe séduit déjà un bon nombre éparpillés à travers la planète. L’extrait publié sur la page Facebook de Prince récolte des commentaires et incite aux commandes. Né à Kinshasa, ce romancier est passionné des médias et de littérature. Il est détenteur d’un master en information et communication de l’université Catholique de Louvain-la-Neuve en Belgique. Son œuvre est donc une autofiction. C’est-à-dire un croisement entre un récit réel de la vie de l’auteur  et quelques brides de récits fictifs explorant des expériences vécues par le narrateur. Il reste optimiste quant au succès de son tout premier roman et souhaite atteindre les fervents et les non-lecteurs.  Qui en est l’éditeur ?
Mon roman est publié par deux maisons d’édition: Les Editions du Pangolin et les Editions Mabiki.

 

Où sera-t-il commercialisé ?
Il est imprimé en Belgique et sera commercialisé dans le monde entier.
Avez-vous prévu des points de vente en ligne ou l’achat se fera seulement physiquement ?
Je pense que vous faites allusion à une version électronique du livre en me posant cette question. L’achat pourra se faire en ligne, mais je n’ai pas prévu de version électronique du livre. Donc, meme si vous achetez le livre en ligne, ce ne sera que pour avoir la version papier du bouquin.

En temps voulu, via sur ma page Facebook (https://m.facebook.com/princedjungu), vous aurez les infos nécessaires pour les acquérir.
En quelques phrases, faites-nous le résumé de votre roman « J’ignorais encore nager dans les flots de la vie » ?
« J’ignorais encore nager dans les flots de la vie »,
(Roman, Editions du Pangolin et Editions Mabiki, Septembre  2016, 74 pages).
Extrait :
« Chacun d’entre nous est placé en un endroit précis qui est le mieux adapté à ce qu’il doit vivre comme expérience de la vie. Et quand cet environnement s’avère difficile, il peut toujours essayer de rectifier le tir. Décliner une expérience, la repousser c’est refuser de prendre les rênes de sa vie. C’est la laisser évoluer au grès des vagues et des turbulences de l’existence. Tôt ou tard, on en paie les conséquences. Face aux aléas de ma vie plusieurs options se présentaient à moi. J’avais choisi de me « retirer » en rentrant me ressourcer dans mon pays d’origine. D’autres, à ma place, auraient choisi des options différentes. Le plus important reste de savoir ce que l’on veut faire de sa vie. Pour moi, ce retrait se devait être temporaire. Il ne devait en aucun cas être synonyme de consternation. Au contraire, il devait être un énergisant face aux challenges et défis qui m’attendaient. Il impliquait de prendre des décisions, de faire des choix pour bien nager dans les flots de la vie ». (J’ignorais encore nager dans les flots de la vie, page 58)
J’ignorais encore nager dans les flots de la vie.
Roman publié par les Editions du Pangolin et les Editions Mabiki en 2016.
Bref résumé :
A la lecture de ce roman, d’aucuns pourraient se dire qu’il s’agit d’une œuvre autobiographique. Ils n’ont pas tort…mais ils n’ont pas non plus raison. J’ignorais encore nager dans les flots de la vie est, ce qu’on appelle une autofiction. C’est un dire un croisement entre un récit réel de la vie de l’auteur  et quelques brides de récits fictifs explorant des expériences vécues par le narrateur.  En effet toute œuvre fut-elle fictionnelle, a toujours une part de réelle, de même dans toute autobiographie, il y a toujours une dose de fiction.
De quoi parle le roman ?
L’histoire se passe entre la République Démocratique du Congo, pays où le personnage principal a vu le jour et a passé une partie de sa jeunesse et la Belgique son pays d’adoption. Arrivé en Belgique avec toute sa famille, l’auteur est amené à retourner dans son Congo natal 5 ans plus tard. Il décide d’y faire ses études universitaires. Il restera à Kinshasa pendant 3 ans avant de rentrer  en Belgique pour y continuer son master universitaire. Le livre nous fait donc voyager entre ces deux pays, entre ces deux sociétés. Le lecteur passe par différentes sensations (humour, pleur, peur, réflexion, questionnement, doute) afin de découvrir le parcours de ce «  belgo-congolais pas si belge ni si congolais que ça », parcours parsemé de réussites, jonchés d’échecs, couvert d’obstacles, de déceptions, de joie, de remise en question et s’interrogeant sans cesse sur les  choix à faire pour bien nager dans ce flot qu’est la vie.

Quelques points à savoir
• Il s’agit du premier roman de l’auteur
• L’auteur est fils d’écrivain
• L’auteur a fait le choix de ne pas faire préfacer son roman
• L’auteur a choisi d’écrire son roman en usant d’un « faux pseudonyme »
• Les éditions du Pangolin appartiennent au père de l’auteur tandis que les Editions Mabiki appartiennent à monsieur Bienvenu Sene Mongaba
Courte biographie
Prince Djungu a vu le jour à Kinshasa. Ancien du Collège Boboto, de l’Université Catholique du Congo et de l’Université Catholique de Louvain-la-Neuve, il est détenteur d’un master en Information et Communication (Finalité approfondie).
Qui suis-je ?
A cheval entre Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, où je suis né et la Belgique où j’ai passé une partie de ma jeunesse, je suis un passionné des médias et de littérature. J’écris parce que j’aime tout simplement écrire.

L’écriture est l’une des rares choses que j’essaie de bien faire correctement. Avant d’être un bon écrivain, il faut selon moi aimer lire. Et j’aime lire. La lecture m’aide à beaucoup de chose : m’évader, m’imaginer des choses, découvrir, rire, pleurer. Lire pour moi est un réel plaisir. J’écris donc aussi pour transmettre ce même sentiment à ceux qui voudront bien me lire. J’aime beaucoup aussi raconter des histoires, des anecdotes, des souvenirs. J’écris donc parce que j’aime partager tout ça.

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Passionné des médias et de littérature, jusque-là, quel est votre apport dans ces 2 secteurs ?
J’ai une expérience assez modeste dans ces deux domaines. Au cours de mes études universitaires et même après, j’ai travaillé comme journaliste pour certains médias. J’ai écrit des articles, réalisé des reportages sur terrain et même étant rédacteur. J’ai aussi collaboré à la naissance de certains médias. La plupart de mes articles sont disponibles sur internet.

 

Dans le domaine de la littérature, mon apport est assez maigre, puisque je viens juste de publier aujourd’hui mon tout premier roman. Cependant, j’écris et j’ai toujours écrit.
Que ce soit sur ma page Facebook ou des écrits sur mon ordinateur ou dans mes cahiers. Mais ma toute première œuvre publiée vient de paraitre aujourd’hui.

 

Un message aux amateurs et amoureux de la lecture ?

L’un de plaisirs quand nous écrivons est de savoir que nous sommes lus. J’espère que les amoureuses et les amoureux de la lecture me liront et aimeront mon premier roman, qui est un peu comme mon premier bébé. J’invite aussi ceux qui ne lisent pas ou qui n’aiment pas lire de faire une exception pour moi. Je suis sur qu’ils ne les regretteront pas.

CINARDO KIVUILA