Dans le cadre de renforcer les capacités des athlètes sur la pratique de l’une des disciplines sportives qui est moins pratiquée en Rd-Congo, le squash, le club Bakolo Squash – BKS – a clôturé sa série des séminaires le dimanche 18 avril 2021, au Cercle Elaïs à Kinshasa.
Après les avantages sur le squash en décembre 2020, la préparation physique et les droits d’un sportif le 4 avril 2021, les squashmen étaient à l’école du savoir pour la pratique du squash d’une manière générale (technique, système de jeu,…), le 18 avril 2021 sous la houlette des experts Christian Ehoff et Manzilu Rheyman.
Au bout d’une heure d’échange, les experts ont permis aux jeunes filles et garçons, qui se démènent tant bien que mal pour pratiquer cette discipline sportive en Rd-Congo, a rallié la théorie à la pratique.
« L’objectif est de quitter le stade d’un simple concept pour un sport qui a impacté 180 millions de personnes en 1993. Ce sport est en mesure d’être parmi les mesures préventives pour notre santé […] Il faut protéger cette discipline sportive qui est un trésor. L’État est censé élargir de l’espace afin de donner la liberté à ces jeunes passionnés qui peuvent porter haut le drapeau du pays », a déclaré Rheyman à Eventsrdc.com
Son compère, l’expérimenté Christian Ehoff a renchéri : « L’idée était de marier les règles avec l’esprit du jeu tout ayant un fair-play sur terrain […] Le squash est mieux que le football, le tennis,… C’est une discipline qui permet à se mettre en forme en brûlant ses calories ».
Dans le chef des athlètes, c’est un sentiment de joie parce que l’objectif était de rallier la pratique et la théorie ainsi que plusieurs avantages du squash. Ce sport est passionnant.
« Nous devons tenir compte de l’adversaire. Donc, être prudent pour ne pas le frapper la raquette […] Le squash est un sport qui nous passionne, nous devons nous faire entendre. Les congolais sont beaucoup focalisés sur le football et d’autres disciplines sportives. Nous devons chercher à nous exprimer afin que les gens comprennent qu’en-dehors du tennis, il y a aussi le squash », a dit Diana Kapinga.
À en croire Joly Binga, l’une de têtes d’affiches de ce club, BKS ne va pas se limiter qu’à l’organisation des séminaires. D’autres initiatives seront mises en place afin d’armer les athlètes.
« Nous voulons faire connaître le squash en RDC. Nous n’avons pas voulu nous limiter au niveau des tournois. L’équipe dirigeante de BKS a décidé de faire venir les experts question de permettre aux athlètes d’avoir une connaissance complète sur leur discipline […] Nous préparons des petits tournois en attendant que la covid-19 finisse avant d’organiser une grande compétition », a confié Joly.
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ETIENNE KAMBALA
