La pandémie de Coronavirus continue à rythmer le quotidien de toute la planète. Plus rien n’est comme avant. Tout le monde s’adapte à ce nouveau mode de vie. Dans le monde du travail, on constate un chamboulement total. Entreprises, établissements, tous s’adaptent. Et le numérique est le plus sollicité.
Notre rédaction s’est penchée sur cette réalité à travers un sondage d’opinion sur Twitter afin de savoir si cette crise sanitaire a-t-elle permis aux entreprises et établissements des secteurs public et privé d’accélérer leur transformation numérique. Des avis divergent auprès de nos twittosphères. Les résultats montrent que 40% des abonnés de notre page twitter ont eu une réponse négative face à cette question, 39% ont eu un avis positif et 21% d’abonnés sont sans avis.
Le télétravail étant la seule option souvent sollicitée durant cette période de crise sanitaire afin de limiter la propagation du Coronavirus, tout en permettant aux salariés d’exercer partiellement ou totalement leur tâche au quotidien, le numérique se révèle aujourd’hui un domaine indispensable pour les entreprises et établissements. Son efficacité à maintenir certains services fonctionnels est sans appel. Or, en Rd-Congo la majorité des entreprises et/ou établissements n’ont pas saisi cette opportunité pour accélérer leur transformation numérique. Est-il une question de moyen ou de temps ? La question reste posée…
Pendant le confinement, seuls les entreprises ou établissements avancés sur le digital, ont pu garder un certain rythme dans leur exercice. Sur cette liste, nous citons les entreprises de télécommunications qui, évoluent déjà dans le secteur du digital ; les entreprises de commerce électronique et aussi des Petites et Moyennes Entreprises qui évoluent avec cette innovation numérique.
Parmi les secteurs qui ont tant bien que mal vu une certaine accélération de leur transformation numérique durant la période de la crise sanitaire, il y a entre autres celui de l’éducation avec différentes plateformes contenant des programmes pédagogiques nationaux ; le secteur de la santé avec la création des applications de secours. Toujours durant la même période, l’Assemblée nationale Rd-congolaise avait doté les députés des modems pour un accès facile à internet pour des visioconférences.
Bien qu’il y ait encore du travail à faire, le mieux serait, pour les entreprises et établissement qui ont pu s’accommoder à ces nouvelles pratiques de la 4ème révolution industrielles, de continuer dans cet élan. A ceux – (entreprise et établissements) – qui attendent ou hésitent encore de se lancer le monde du futur qui est le numérique, de prendre à bras le corps cette réalité et de se lancer réellement pour la pleine réussite de leurs activités professionnelles.
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GLODY NDAYA
